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Avant-propos & Introduction

Une série d'essais discutant certaines récusations rencontrées par les Praticiens du Zen Occidental

 

Avant-propos

harmony-smZen est vraiment très simple- il s'agit d'écarter, de mettre de côté nos opinions et nos sentiments des choses et d'être tout simplement. Il s'agit du détachement. Il s'agit d'introspection et de contemplation. Pourtant, arriver au point de pouvoir se détacher et de ralentir suffisamment notre esprit bouillonnant afin d'être introspectif peut être bien difficile. Nous employons des régimes Zen pour nous aider dans la direction où ces choses deviennent faciles, voir une seconde nature. Mais tous les régimes Zen ne sont pas efficaces pour tout le monde, ni tous les régimes, en fait, n'indiquent pas du tout la direction juste. Comment savoir alors, si notre pratique nous emmènera là, où nous voulons arriver? Il y a quelques semaines je rencontrai l'article de Stuart Lachs " Means of Authorization: Establishing Hierarchy in Ch'an/Zen Buddhism in America et bien vite je découvris que beaucoup de personnes en faisaient référence par l' internet. Cet article créa vraiment une sensation qui m'instigua à le lire et me guida à en lire également deux autres de Mr. Lachs : Richard Baker and the Myth of the Zen Roshi, and Coming Down from the Zen Clouds - A Critique of the Current State of American Zen. Ces écrits savamment rédigés (*1) avaient aidé à exposer un côté sombre du Zen institutionnalisé - un côté que d'habitude nous ne trouvons pas révélé dans la copieuse littérature Zen disponible sur le marché. Dans les prochaines séries d'essais j'essayerai de faire lumière sur certaines récusations et dangers qu'envisagent les praticiens du Chan/Zen (*2) de l'occident comme relatent les observations et les commentaires de Mr. Lachs.

Zen est une pratique personnelle de découverte du Soi, mais la partie institutionnalisée du Zen a besoin d'être comprise et différenciée de la pratique actuelle du Zen. Maître Lin Chi (Rinzai) disait à ses étudiants : " Le problème se trouve dans notre foi en nous-même. C'est parce que vous ne croyez pas en vous-même que vous êtes meurtri de partout par les conditions dans lesquelles vous vous trouvez. Etant enchaîné et entraîné par des situations objectives vous n'avez aucune liberté, vous n'êtes pas maître de vous-même. " Le Chan est un sentier qui conduit à la liberté, individuation et finalement au salut. C'est une pratique qui demande grande foi, grand doute et grande persévérance. En bref, le Chan demande, en employant les paroles de Lin Chi, de croire en nous-même. Et ainsi dit, que notre voyage commence . . .

Chuan Zhi, Octobre 2006 www.hsuyun.org

(*1) Les documents de Stuart Lachs ont offert de précieuses informations de base pour les séries d'essais qui suivent et peuvent être acquis sous forme pdf en anglais ci dessous :

(*2) Les termes Zen et Chan sont employés alternativement- les deux ont leur origine de la même parole Sanskrit - Dhyana, qui veut dire méditation. Dans les pays de l'Occident, " Zen " est plus associé avec la lignée de base Japonaise tandis que " Chan " est plus associé avec la Lignée pure Chinoise.

1 Partie. Introduction

Lorsque les anciens maîtres vertueux guidaient leurs étudiants ou, ils employaient des bâtons, ou ils criaient. Il n'y avait pas beaucoup de mots. Néanmoins le présent ne peut pas être comparé au passé. On n'a que le choix de pointer le doigt vers la lune. Après tout, lequel est le doigt et lequel est la lune? Examinez ! "

-- Grand Maître Hsu Yun (Nuage Vide)

Les étudiants de l'occident, nouveaux au Chan, font souvent l'expérience de confusion et d'anxiété lorsqu'ils sont confrontés par les myriades d'approches de l'entraînement du Chan et les innombrables couleurs que présente le paysage Bouddhiste. Une récente recherche avec Google sur le " Bouddhisme Chan " en fait, donna plus d'un million de web pages indépendantes comme résultat ! Par ou commencer? Comment enlever la paille du blé ? Commençons par une petite histoire. Le Zen en Orient date de vers la moitie du 19eme siècle ; le Zen pourtant devait gagnait son premier lancement significatif en Amérique et en Europe dans les années 1920 grâce aux écrits de Daisetz Teitaro Suzuki, un penseur brillant, un philosophe et pratiquant du Zen Rinzai Japonais. Apres presque cent ans derrière nos épaules, il y a, à présent une bonne dose de compréhension (comme tout aussi de malentendu) de la " modalité " du Zen- du moins c'est ce que divers écrits Japonais ont présentés.

A Chaque fois qu'une religion entre une nouvelle région dominée par une culture ethnique différente de celle de sa source originaire, une certaine amalgamation d'idéologies, d'éthique ainsi que de mythes et de superstitions régnants dans la religion nouvellement introduite ainsi que dans les religions antécédentes, prend place. Le Bouddhisme est un cas spécialement intéressant ayant été diffusé dans le monde entier en apportant des diversités partout où il allait.

 

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La tombe de Daisetz Teaitaro Suzuki(1870-1966). D.T.Suzuki est connu pour avoir introduit le Bouddhisme Zen en Occident et dû largement à son habilité de jeter un pont avec succès entre la culture divisée de l'orient et l'occident par ses écrits visionnaires. Photographie de Museki Abe, Tokyo, JP
Lorsque le Bouddhisme entra en Chine dès les 50 A.C. par certains compte rendu, il se trouva vite mêlé au Taoïsme ainsi qu'à différentes cultures ethniques de la région. Durant le cours des 700 à 800 années suivantes, le Chan Chinois émergea. Lorsque plus tard le Bouddhisme entra au Japon en suivant plus de 500 ans la Corée, il fusionna avec Shinto pour former une nouvelle sorte de Bouddhisme Chan. La secte Zen ne fut introduite au Japon qu'après une durée de mille ans de son établissement en Chine : à l'époque du 12 ème siècle, la secte de Rinzai (Lin Chi) fut introduite par Eisai et au début du 13 ème siècle la secte Soto ( Tsao-tung) fut introduite par Dogen. Lorsque donc le Zen entra sur scène au Japon, le Bouddhisme Japonais avait déjà plus de 500 ans d'histoire. Le Zen fut introduit aux Etats Unis ainsi que dans d'autres parties de l' Occident en prédominance du Japon, ce n'est donc pas surprenant que la culture Japonaise influença fortement nos idées sur le Zen dès les débuts.

 

Un développement intéressant des dernières décennies fut l'introduction du Bouddhisme Zen Coréen et Tibétain - chacun de ceux-ci ayant aussi et uniquement des différentes structures de foi, d'idéologies et de pratiques.

 

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Carte illustrant la propagation du Bouddhisme au travers de l'Asie. Partout où il allait, une nouvelle " sorte " de Bouddhisme se développait. Une carte similaire montrant la propagation du Bouddhisme de nos jours aurait littéralement des milliers de petites flèches pénétrant les pays de l'occident d'une multitude d'endroits de l'Asie.
Ce n'est pas surprenant que le Bouddhisme Occidental est en train de subir une terrible crise d'identité et qu'en fait, le terme Bouddhisme peut avoir une signification tout à fait différente pour un praticien du Bouddhisme Tibétain que, disons, pour un pratiquant de la lignée Zen du Japon ou un pratiquant de la pure lignée du Chan Chinois. Des étendues de différentiation entre les nombreuses sortes de Bouddhisme incluent des idées de réincarnation, de sutras, de pratique de koan, de végétalisme, de mariage, de structure hiérarchique ecclésiastique tout comme aussi de différentes superstitions et mythes. La liste de discorde entre ceux-ci est infinie, comme on peut s'y attendre lorsque des religions similaires sans une " bible " commune se développent indépendamment pendant des milliers d'années dans de différentes et vastes cultures. En fait, personne ne sait ce que le Bouddha a dit en réalité- rien n'avait été écrit qu'après plusieures générations après sa mort. ( La seule chose sur laquelle tous les Bouddhistes du monde entier semblent être en plein accord et sans aucun doute est : Les Quatre Noble Vérités et L' Octuple Sentier qui ont leur origine du Bouddha Shakyamuni )

 

En plus de cette confusion et ce chaos, la large gamme d'interprétation de la terminologie Bouddhiste d'une secte à une autre à conduit à des disputes entre groupes Bouddhistes, entre enseignants et entre membres des sangha. De fréquents scandales impliquant mauvais usage de pouvoir et d'autorité par l'exploitation des congrégations, ont jeté une ombre amère sur le Bouddhisme Zen et sur beaucoup de ses institutions représentatives en occident. Et puisqu'il n'y a pas de débats sur quel " sentier " est le meilleur - il en résulte que tous sont bons s'ils sont approchés avec une juste attitude- le simple fait qu'il y ait tant de présentations différentes de la même chose à, pour beaucoup de gens, un effet flou au lieu d'un éclaircissement du Zen.

La récusation que nous envisageons est, comment garder ce qui est bon du sentier du Chan tout en adaptant une manière de penser d'une autre culture et de pouvoir faire les choses de telle manière à ne pas subir pas une fêlure qui ne servirait qu'à nous séparer de ce Sentier. Dans une culture occidentale qui souligne l'individualisme sur le collectivisme, tout comme les approches scientifiques à la connaissance sur des intuitives, nous faisons face à d'évidentes récusations lorsque

nous essayons d'intégrer des idées et méthodologies des cultures Orientales. Heureusement, les aspects sociaux et culturels de l'institution du Bouddhisme ne sont pas fondamentaux, ni même exigent des ingrédients du Zen. La secte Chan :

 

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Grand-maître Hsu Yun (Nuage Vide) est considéré le plus grand maître du Chan du 20eme siècle.
Historiquement le Chan s'est mis à part du courant principal du Bouddhisme orthodoxe mais n'a pas, jusqu'à récemment, rejeter les fondations morales et éthiques considérées historiquement en tant que conditions nécessaires à la pratique du Chan. Maître Hsu Yun ( Nuage Vide) considéré le plus grand maître du Chan du 20 ème siècle, enseigna qu'avant d'être prêt à commencer le Chan il faut être moralement, psychologiquement et spirituellement préparé " Il y a quatre conditions nécessaires concernant les méthodes de pratique " dit-il " une foi profonde dans la loi de cause et conséquence ; une stricte observance des préceptes ; une foi immuable; et choisir une méthode de pratique " En prenant soin de ces quatre choses nous serons prêts à marcher sur l'ancien sentier Bouddhiste mystique du Chan :

 

" L'objectif de la pratique du Chan est d'illuminer l'esprit en extirpant ses impuretés et de voir en sa propre vraie nature. Les impuretés de l'esprit sont les pensées erronées et les attachements. La propre- nature est la sagesse et la vertu du Tathagata ( Bouddha) La sagesse et la vertu des Bouddhas et des êtres sensibles ne sont pas différentes l'une de l'autre. Pour avoir l'expérience de la sagesse et de la vertu, laissez de côté la dualité, la discrimination, les pensées erronées et les attachements. Cela est Bouddhéité " Nuage Vide.

Tandis que l'apport du Zen de D.T.Suzuki connaissait une énorme influence dans la culture occidentale populaire, son approche du Zen était fortement académique avec la tendance de faire voir le Zen en tant qu'une et unique " chose " distincte, indépendante et isolée de ses héritages religieux du Mahayana. Que ce fût ou pas une nouvelle torsion dans l'histoire du Chan, les enseignants successifs néanmoins, ont perpétué ce Zen " isolationniste " En plus de ça, quelque part sur le trajet du temps, le Noble Octuple Sentier perdait sa signification en tant que guide pour aider les praticiens à cultiver leur vie morale et éthique. De nos jours, l'emphase extrême de " suivre les cinq préceptes " a en effet substitué l'entièreté de l'Octuple Sentier ( qui inclut ce code éthique) par un simple code éthique de conduite. Ainsi, au lieu de régimes basés sur des disciplines provocantes mais plus significatives, de la Compréhension Juste, de la Pensée Juste, de la Parole Juste, de l'Action Juste, ( d'où nous avons les préceptes) du Moyen d'Existence Juste, de l'Effort Juste, de l'Attention Juste et de la Concentration Juste, nous restons avec l'impression fausse que si tout simplement " nous ne tuons pas, ne volons pas, ne nous engageons pas dans les activités sexuelles illicites, nous ne mentons pas et ne faisons pas emploi de drogues " que nous marchons sur le Sentier qui conduit au Nirvana. Nous avons, en quelque sorte oublié que respecter les préceptes est simplement une condition du Chan, pas une pratique du Chan.

Transition du Zen :

Les groupes de Zen de la lignée japonaise ont eu assez bien de temps "pour examiner les eaux" de la culture américaine avec de nombreux professeurs et leurs congrégations, pourtant un nombre énorme de ces groupes ont souffert considérablement en raison des incompatibilités inhérentes d'une culture étrangère forcée sur un esprit occidental non préparé. Ces incompatibilités peuvent elles-mêmes expliquer une grande partie du paradigme contemporain de l'isolationnisme du Zen.

Peu de gens ont fait un travail meilleur que celui d'identifier les nombreux problèmes que les institutions occidentales du Zen ont traités avec Stuart Lachs. Avec plus de quarante ans d'entraînement Zen sous nombres d'enseignants aux Etats Unis, il a été le témoin de beaucoup de fiascos. Il a principalement noté un abus de pouvoir largement répandu par les enseignants représentatifs ainsi qu'une aliénation subjective des enseignants et des étudiants de leur propre culture.

Les nombreuses histoires d'étudiants que j'ai lu dans les livres et articles d'auteurs tels que Mr. Lachs et Michael Downing (Shoes Outside the Door : Desire, Devotion et Excess at an Francisco Zen Center) suggèrent que, la terminologie associée au Zen est souvent mal comprise, mal interprétée et même des fois mal appropriée par les professeurs et les praticiens involontairement ou intentionnellement. Un tel mauvais usage du langage Zen a eut l'effet de guider les gens dans l'égarement et a eut en plus, un effet délétère sur le Bouddhisme Zen en général. D.T.Suzuki, Stuart Lachs, Karl Jung, Hsu Yun et beaucoup d'autres ont fait des commentaires similaires que nous ne devons pas ignorer. Pour que le Bouddhisme Zen s'épanouisse en occident des changements adaptatifs doivent être effectués qui permettront un embrassement mutuel de notre culture avec l'essence du Zen. Cela a été le cours naturel du Bouddhisme pendant près de deux mille ans après avoir émigré d'un pays à l'autre, il ne s'agit donc pas d'une nouvelle idée. Il ne s'agit pas non plus de rejeter nos propres sensibilités, notre propre identité culturelle pour celle d'une autre qui nous est étrangère par son héritage unique et son histoire culturelle.

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Grand Maître Jy Din Shakya au temple de Hsu Yun temple en 1998. Il fit part de sa déception que le temple n'attrayait que peu de natifs de l'occident.

Stuart Lachs a identifié où il y avait beaucoup de problèmes dominants et a effleuré quelques idées comme solutions; des solutions à mettre en pratique qui cependant, restent la responsabilité des institutions Zen et de leurs représentants. Jusqu'à ce que les voix du Zen de l'Occident puissent reconnaître la nécessité du changement, le changement sera fastidieusement lent et les récusations des étudiants Occidentaux continueront et augmenteront. En gardant un esprit large : Nous, les praticiens du Zen luttons pour un " œil objectif " - afin de reconnaître les choses comme elles sont (bhutatathata) au lieu de comme nous pensons ou ressentons qu'elles sont. Pourtant nous avons traditionnellement évité d'écouter les académiciens, les théologiens ainsi que d'autres chercheurs qui ont étudié le Bouddhisme du point de vue historique, psychologique ou religieux. " Que pourrait-ils savoir de la Connaissance du Moi ? "

Demandons-nous avec arrogance. Nous ignorons le fait, que beaucoup de ces personnes sont elles-mêmes des praticiens de longue date. Nous pourrions

observer également que la Connaissance n'est pas le domaine exclusif du Bouddhisme Zen !

Pour nous, enquêter intentionnellement d'un œil aveugle chaque forme de connaissance, non seulement limite notre compréhension du monde en étendue qui pourrait être essentielle afin aider d'autres personnes à découvrir le Dharma, mais aussi nous isolent largement de notre propre culture et de la société.

N'importe quel psychologue attestera quant aux dommages psychologiques que cette désaffection pourra causer à un individu. Nous pourrions également réfléchir à la première division du Noble Sentier Octuple : La Compréhension Juste. Pour comprendre quelque chose clairement, nous devons être ouverts et réceptifs à l'information qui a trait à cette chose dans chaque direction. Nous devons laisser de côté nos propres croyances et opinions de façon à atteindre cet esprit réceptif. Comprendre dissipe la peur, ôte l'ignorance et augmente la connaissance. Comprendre, aide aussi à résoudre beaucoup de problèmes du monde- réel.

Le Chan Chinois :

Tandis que le style Japonais des écoles Zen a été ici en Occident depuis des dizaines d'années, le Bouddhisme Chinois lui, a été plus dans les temples qui servent aux populations ethniques des émigrants chinois. Ceci a crée des barrières inhérentes pour les Occidentaux car prédominant dans le domaine de la langue et des coutumes. Ce n'est pas surprenant que la plupart des problèmes que nous avons vu dans les temples Zen ont surgit dans les écoles Japonaises, car celles-ci sont encore les écoles qui dominent le cadre du Zen Occidental. Proportionnellement, cependant, les sectes Zen Bouddhiste Chinoises et Coréennes ont eut également leur part de problèmes.

 

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Le Temple de Hsu Yun temple à Honolulu Hawaii qui historiquement sert pour le plus une population ethnique d'émigrants Chinois. Les occidentaux souvent rencontrent des barrières de culture et de langue lors de leur visite.
En tant que fondateur et Abbé d'un des plus vieux temples du Chan aux Etats Unis, le temple de Hsu Yun, le Grand Maître Jy Din avait fait part de sa grande déception que son temple attrayait si peu de natifs occidentaux. Il était d'avis et croyait que les temples ethniques ne pouvaient jamais servir adéquatement le natif occidental étant donné l'énorme différence de culture et de langue, à moins que, la culture occidentale ait pu être permise " de l'intérieur " Empressé de faire de sorte que le Chan soit disponible aux Occidentaux, en 1997 il créa l'Ordre Bouddhiste Zen de Hsu Yun ZBOHY. Selon la vision de Maître Jy Din, comment préserver l'essence du Chan Chinois tout en adaptant les nombreuses approches culturelles fondamentales Chinoises envers ceux qui feront appel et qui puisse en même temps fonctionner pour l'étudiant occidental ?

 

Il n'y a évidemment pas une simple réponse à cela, mais apprendre des erreurs des enseignants du Zen et des sanghas qui étaient là avant nous, semblent plus que prudent, tout comme en écoutant les conseils et les avertissements de nos amis académiciens qui ont étudié et interprété l'histoire et l'évolution du Bouddhisme tout comme sa diffusion dans le monde entier. Puisque que la terminologie Bouddhiste est au centre de la compréhension de la pratique Bouddhiste et de la théologie, nous allons commencer par explorer ce sujet en y commencent là.

Dans les essais suivants j'effleurerai certains des termes les plus fréquemment employés que l'on trouve dans le Bouddhisme et aussi, comment ces termes se relatent au sentier du Chan en général tout comme aussi aux institutions du Chan. Par la suite, j'essayerai de différencier entre les liens du Dharma qui sont le sentier et l'élément humain, définit dans l'institution du Zen. Je discuterai, avec la meilleure habilité possible, le rôle d'un Maître, comment cette position est définie, ainsi que son rôle dans la propagation du Zen. Je jetterai un regard aussi sur les concepts de la lignée et ses relations au Dharma de la Transmission.

Traduction: Fa Lian Shakya,OHY